Jazz Beaudelaire

« pourquoi dans la pub yop quand il dit " ouais, mais c'est mon yop " elle lui répond pas " mais c'est moi qui l'ai payé enculé d'ta race ! " ? »

Il était une fois l'histoire de Jazz. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis vingt-deux ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le vingt février mille neuf-cent quatre-vingt dix à Ottawa. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Chris Colfer. On entend souvent dire que c'est une personne : tendre, timide, romantique, agréable, souriante. De plus, son coeur est libre, on pense même que Jazz est célibataire. Jazz est actuellement étudiant en stylisme. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : The Present.

il faut me connaître

Il est originaire d'Ottawa. ★ Il est proche de sa famille. ★ Il est homosexuel, et n'a fait son coming-out qu'il y a peu de temps. ★ Il a peur de ce que les gens pensent de lui, surtout sa famille et ses proches. ★ Il est du genre très romantique, à croire en l'amour et au prince charmant. ★ Il aime beaucoup se jouer la sérénade à lui même, mais il ne chante jamais en public. ★ Ses années lycées ont été un enfer, toujours à cause d'un même garçon. ★ Même si il est adorable, généralement, si il n'a pas quelque chose qui lui tient à coeur, il peut se montrer assez capricieux. ★ Il rêve d'acheter un shiba inu depuis qu'il a vu le film " Hachiko ". ★ Il a assez peur des vampires, loups-garous, et tous ces trucs là, mais il ne vous l'avouera jamais. ★ Il pleure souvent en regardant des films. Et il a beaucoup de mal à supporter les moqueries et les insultes concernant son homosexualité, tout ça étant vraiment récent pour lui. ★ Il aime suivre la mode, et ne se gênera pas pour vous faire une remarque sur votre style vestimentaire si il le juge trop " décalé ". ★ Il a traversé une période assez difficile, au lycée, où il a été obligé de prendre des antidépresseurs. Depuis, il fait tout pour que ça n'arrive plus, et vit au jour le jour. D'ailleurs, il ne parle jamais, ou très rarement, de cette partie là de sa vie. ★ Il supporte très mal l'alcool. ★ Il est très cliché sur l'amour, qui, pour lui, est sacré. C'est pour ça, qu'en bonne fleur bleue, il considère l'adultère comme un pêché mortel. ★ Il aime beaucoup le culture française et anglaise.

il était une fois

i never known him, but ... when i hear about him, i ... it's like he was the symbol of undying love. that's wy he's my hero. for ever. ► La jeune Théodora fit un signe rapide, en direction de la nourriture dans son assiette, puis exécuta une série de signes dans les airs. Jazz haussa les épaules d'un air indifférent, en portant une fourchette de pattes à sa bouche. « On s'en fout qu'elles soient trop cuites, Teddy. » Lui lança-t-il, les yeux rivés sur l'écran de leur télé. « Si t'es pas contente, tu te fais à manger toute seule. ». Sa petite soeur lui jeta un regard noir, avant de s'enfoncer dans le canapé, l'air mécontent. Jazz ne lui en tint par rigueur. C'était quand même vrai que la garniture de ces raviolis avait foutu le camps, à cause de la cuisson trop longue. Et oui, le petit garçon aurait volontiers imité sa soeur, en repoussant son assiette, mais il n'en fit rien, cause de fierté. Il porta la dernière patte à sa bouche, ne pouvant réprimer une moue de dégoût. Détail qui n'échappa pas à Théodora, qui rit silencieusement. Jazz le savait, même s'il ne l'entendait pas. Il ne l'avait jamais entendue, d'ailleurs. Leurs conversations se résumaient à des gestes plus ou moins clairs de la part de la jeune fille. Les réponses qui lui parvenaient ne dépassaient pas trois mots, en général.
Jazz allait lancer une réplique cinglante à sa soeur, sur pourquoi elle ne devait pas refuser la nourriture qu'IL lui préparait avec " amour ", quand le grincement de la porte résonna dans l'appartement. La petite sauta du canapé, se précipitant dans le couloir. Jazz soupira. Il ne pouvait pas l'entendre, mais il ne savait que trop bien qu'elle était en train de déblatérer un discours silencieux à leur mère comme quoi il ne la nourrissait pas, qu'il était méchant, et tout le registre habituel. « Jazz ? Qu'est-ce que ta soeur veut dire par " Il a empoisonné les pattes " ? » Le châtain retint un rire. Même si sa soeur l'exaspérait au plus haut point, il devait admettre que ses récits quelques peu enjolivés pouvaient être tellement ridicules qu'ils en devenaient drôles. « Elle veut dire que j'ai mis de la mort aux rats dans les raviolis pour plus voir sa salle tête de souris. ». La réaction de la cadette ne se fit pas attendre. Elle sauta sur le canapé, et tapa furieusement son frère de ses petits poings. S'en suivit une lutte acharnée. Jazz ne se souvint plus à quel moment il avait changé la raison de leur dispute pour la possession de la télécommande, mais toujours était-il que le pauvre objet était maltraité entre les mains des deux enfants. Leur génitrice soupira bruyamment. « Si votre père était encore là, il saurait quoi faire, lui. » Théodora se figea brusquement, et baissa la tête, comme si l'évocation de leur défunt père était une chose sacrée. Jazz, lui, ne tint pas compte du respect de sa soeur envers la mémoire de leur géniteur, et profita de son recueillement pour s'emparer de la télécommande. La bouche de la petite s'ouvrit dans une exclamation silencieuse, et elle se retourna brusquement, les bras croisés sur la poitrine. Jazz ricana. Leur vie de famille n'était pas si banale que ça, mais il s'en accommodait. Une soeur muette qui ne pouvait pas lui casser les oreilles à longueur de journée, un père qu'il n'a jamais connu, terrassé par une crise cardiaque ... Peut être que son plan familial devrait lui sembler catastrophique, mais bizarrement, il ne l'était pas plus que ça.

life can't be captured. human heart can't be tamed. ►« Jazz ? Tout va bien ? » L'apostrophé daigna relever les yeux de son livre de maths, pour les poser sur son beau-père. « Pourquoi ? » Question idiote, il le savait. Jazz n'était pas du genre à rester de marbre durant une conversation familiale. La plus silencieuse de la famille, c'était Teddy, et encore, ces grands gestes avaient manqués plus d'une fois de mettre des bouteilles, et des verres par terre. Mais ce soir là, le châtain se murait dans un silence inébranlable, son assiette ayant été repoussée, un livre de maths avait été appelé pour prendre sa place sur la table. Et tout ça semblait être des faits assez inhabituels pour que son beau-père, Parker, lui en fasse la remarque. « Y a-t-il vraiment une nécessité à ce que je me justifie ? Tu n'as pas ouvert la bouche depuis qu'on est passé à table, et, avouons-le, c'est un fait exceptionnel. » Jazz hocha la tête en fermant les yeux. Il adorait Parker, et le considérait comme le père qu'il n'avait jamais connu, mais le fait était qu'il était un peu trop protecteur avec lui. Et cela en devenait étouffant, parfois. Il allait rétorquer que tout allait bien d'un ton las, avant de prendre congé, et de s'enfermer dans sa chambre pour divaguer toute la soirée, mais Théodora ne lui en laissa pas le temps. Elle exécuta une série de signes qui voulaient clairement dire " Il est triste parce qu'il ressemble à une fille ". Jazz lui aurait surement balancé le contenu de son assiette - composé de purée et de saucisses de Strasbourg - si leur mère n'était pas intervenue dans la conversation. « TEDDY ! Tout d'abord, on dit efféminé, c'est plus correct. Et puis, il n'y a pas de mal à être moins viril qu'un autre ! Ce n'est pas parce qu'il passe trois heures à se préparer le matin, qu'il met de vêtements hors de prix, qu'il a une voix légèrement trop aiguë, et qu'il ... » « Maman, tu m'enfonces, là ... » « Désolée, chéri. » Après ça, un silence pesant s'installa à la table, troublé par le bruits des couverts cognant contre les assiettes. Au bout d'une minute, Jazz referma son libre d'un geste sec, et poussa sa chaise, la faisant racler contre le carrelage. « Je vais dans ma chambre. J'ai encore pas mal de devoirs pour demain, et j'ai pas tellement faim. Bonne nuit. » Sans un mot de plus, il pris son livre sous le bras, avant de se diriger hors de la pièce. Néanmoins, la voix de son beau-père lui fit ralentir le pas. « Tu es sûr que tu ne veux pas en parler ? » Jazz se stoppa, dans l'encadrement de la porte, retenant le battant d'une main, toujours dos à sa famille. Il sentait néanmoins les regards de ceux-ci posés sur sa personne. Des regards lourds en interrogations, presque durs à porter. « Il n'y a rien à dire. » Ces mots prononcés, il quitta la pièce, la porte se refermant dans un bruit sec.

no, fuck you. you broke my heart. ► « Eh, Beaudelaire ! Fais gaffes à comment tu t'habilles, c'est pas la cage aux folles ici ! ». Jazz jeta un regard hautain à la bande qui venait de l'interpeller, et ferma son casier d'un coup sec. Attrapant Milo, son meilleur ami, par le bras, il l'entraîna vers les escaliers. « Jazz ! Pourquoi tu ne dis rien ? » Un rire clair s'échappa des lèvres du châtain, alors qu'ils tournaient à un angle. Alors que Milo se dégageait de son étreinte, Jazz lui répondit joyeusement. « Tout simplement parce qu'ils ne m'atteignent, pas Milo. » Son vis-à-vis secoua la tête, d'un air gêné. Surpris, Jazz s'arrêta, et se retourna vers Milo, sans pourtant se démunir de son sourire. « Quelque chose ne va pas, Mil' ? » Les yeux du garçon en fasse de lui fuyaient sans cesse son regard. Comme si il voulait l'éloigner d'un secret honteux. Il mit un certain temps avant de répondre. Peut être parce qu'il ne savait pas comment dire ça. Peut être parce qu'il n'avait pas vraiment envie de le dire. « Je sais, pour tes médocs, Jazz. » L'information mit un certain temps à monter au cerveau de l'intéressé. Mais quand les mots prirent tout leur sens, le sourire peint continuellement sur le visage de Jazz s'effaça lentement. Son regard se perdit, dans un horizon invisible, inventé, par dessus l'épaule de Milo. « Tout ça date de l'an dernier. Je ne suis plus sous traitement. » « Tu l'étais. Tu ne m'as rien dis. ». Jazz se mordit la lèvre, sans déloger son regard de ce point invisible, bien plus intéressant, bien plus facile à fixer, que le regard de son ami, empestant la pitié. « C'était à cause d'eux ? » Il n'y avait aucun nom, sur le pronom " eux ". Pourtant, le châtain ne voyait que trop bien de qui il parlait. Mettre des noms sur ce mot ne faisait que rendre l'évocation plus douloureuse encore. Jazz hocha lentement la tête, et, alors qu'il osait poser son regard sur le visage de son ami, il devinait sa prochaine question. C'est pourquoi il anticipa, en répondant à l'interrogation silencieuse de Milo. « Mais je suis guéri, maintenant. Si j'ai sombré, l'année dernière, c'est parce que tout ça m'est tombé dessus alors que je ne m'y attendais pas. Alors, on m'a drogué à coup d'antidépresseurs. Mais je m'en suis sorti. » Bien qu'un faible sourire ait de nouveau étiré ses lèvres, on pouvait clairement lire sur le visage de Milo, de l'incrédulité, et toujours cette maudite pitié, à laquelle Jazz aurait préféré ne jamais avoir affaire. « Jazz ... » « Je te le jure, Mil'. Je suis parfaitement bien maintenant. J'ai pas le temps pour être dépressif. » Un haussement de sourcil accusateur, et un hochement de tête lui répondit. « Tu sais quoi, Milo ? » Reprit le châtain, s'appuyant contre les casiers. « Peut être que je ce soir, en sortant du lycée, je me ferai faucher par une voiture. Et, franchement, si jamais ça doit être le cas, je préfère profiter de mes dernières heures, au lieu de les passer à pleurer à cause d'un truc qu'ils m'ont dit hier, ou parce que j'angoisserais à l'idée de ce qu'il pourrait se passer demain. » Milo haussa les épaules, levant les yeux au ciel. « Ou peut être que tu rentreras chez toi ce soir, que tu t'affaleras dans le canapé, puis tu auras la flegme de faire tes devoirs, et demain, tu ramasseras une heure de colle parce que t'auras rien foutu. Voilà ce qui va se passer. Et crois moi, Jazz, tu mourras, oui. Dans quatre-vingts ans, peut être, alors, tu peux arrêter de te faire un trip, comme quoi, on va te ramasser avec une paille au milieu de la route. » Cette fois ci, le sourire de Jazz se fit un peu plus grand. Il se redressa, lançant un regard circulaire autour de lui. « Personne ne peut savoir si on va mourir, dans deux heures, un an, cent ans. Mais ce dont moi, je suis sûr, c'est que, peut importe quand je passerais l'arme à gauche, ma vie ne se résumera pas à l'angoisse du lendemain, ou au regret d'hier. » Un ricanement moqueur lui répondit, et Jazz secoua la tête en riant, face au caractère borné de son ami. « Tu m'avais caché que tu étais un grand philosophe, Jazz. »

all i can say is i was enchanted to meet you ► Jazz appuya longuement sur la touche " effacer " de son notebook. Tapant sur une touche au hasard d'un air exaspéré, il soupira, réajustant sa cravate. Quand s'était inscrit à l'université, dans la filière du stylisme, il ne s'attendait décidément pas à devoir faire des dissertations de dix pages sur l'histoire de la mode. Oh, il donnerait vraiment n'importe quoi pour pouvoir échapper à cette page blanche qui le narguait, sans cesse. Toutes les trente secondes, il tapait une phrase, puis l'effaçait. Mettait un mot, puis l'enlevait. Puis, il se déconcentrait, laissant son regard divaguer entre les tables voisines, parfois, il accrochait un visage particulièrement bien dessiné, une mèche rebelle, un regard envoûtant. Et puis, une phrase lui venait. Alors il l'écrivait, et un soulagement l'envahissait lorsqu'il se rendait compte que le groupe de mots ne faisait pas " tâche " sur la page. Puis, il repartait dans sa rêverie. Créant une histoire à chaque passant qui accrochait son regard, il savait bien qu'il ne finirait jamais son devoir en s'y prenant de cette manière. Il se redressa brusquement, une présence à côté de lui l'ayant fait tressaillir. Il se concentra de nouveau sur l'écran de son ordinateur, n'accordant pas un regard au serveur. Il en avait presque oublié qu'il se trouvait dans un Starbucks. Pourtant, il venait ici souvent, pour travailler. Presque tous les jours. Il ne savait pas ... Peut être qu'il aimait l'odeur du lieu, l'ambiance, le décor ... Mais il aimait ce Starbucks. « Bonjour, je voudrais un expresso sans ... » « Un expresso sans sucre avec un nuage de lait. » Jazz daigna relever les yeux lorsqu'un gobelet portant l'inscription " Starbucks " se posa sur la table. Un serveur qui devait avoir à peu près son âge se tenait devant lui, un sourire aux lèvres. Jazz le reconnaissait. C'était ce même garçon qui avait pris plusieurs fois sa commande. Même, d'aussi loin qu'il se souvenait, il ne se rappelait avoir eu affaire à un autre serveur que celui-ci. Il lui tendit une main, un peu hésitante. « River Hearts » Jazz serra la main qu'il lui présentait, un sourire poli, aux lèvres. « Jazz Beaudelaire. » Il s'autorisa à détailler un peu plus son vis-à-vis. Pas vraiment grand, mais d'une taille convenable, des yeux mordorés - et magnifiques, il devait l'admettre -, des cheveux bruns, qui se caractérisaient par des boucles tempétueuses. Peut être qu'il était l'échappatoire de l'horrible prison de l'histoire de la mode ? Surement oui. River lui adressa un autre sourire, encore plus beau. Et sans savoir pourquoi, Jazz eut l'intime impression qu'il allait être beaucoup plus qu'une simple excuse pour mettre son devoir d'histoire de côté. « Peut être que tu te demandes comment je connais ton café habituel ? » « En effet, ça m'intrigue ! »

stop saying " i wish " and start saying " i will " ► Parfait. Tout était absolument parfait. C'était ce que se disait Jazz, allongé dans son lit, encore en pyjama, fixant le plafond, un sourire idiot aux lèvres. Le silence de l'appartement lui rappelait qu'il était seul, qu'il pouvait faire ce qu'il voulait, manger à pas d'heure. Et Jazz se sentait bien. Jazz était léger. Il se fichait de demain. Il oubliait hier. Il se concentrait sur le moment présent, la joie qui emplissait son coeur, pour une raison inexplicable. Depuis deux mois maintenant, il se sentait léger. Peut être parce qu'il s'assumait comme il était - c'est à dire, gay - ? Peut être grâce à River, qui l'avait réellement aidé à s'épanouir ? Peut être les deux ? Mais, les matins comme ça, où il se réveillait, presque shooté au bonheur, étaient assez rare. Il avait naturellement le sourire facile, bien entendu. Mais en ce moment présent, il avait juste envie de rire, à s'en casser les côtes. Parce qu'il n'avait plus envie de se plaindre du voisin qui mettait du hard rock à fond tous les soirs. Il n'avait plus la force d'aller affronter la concierge qui lui quémanderait le loyer. Non. Tout était parfait, et il voulait que ça reste comme ça.

je ne suis plus anonyme

Bien bien mes choux ! Alors moi c'est Marie-Alix - waiwai, c'est que mon deuxième prénom, mais j'aime pas l'premier -, mais vous pourrez surement me croiser sous le pseudo de State of Grace. Awi. ← Lui, c'est Pinpin le lapin disco, mon meilleur pote de toujours, et j'suis contente que vous l'ayez adopté sur votre forum. Il me manquait un peu ces derniers temps. Autant vous dire que les retrouvailles ont été émouvantes ! Bref, assez parlé de Pinpin. J'habite dans le sud de la France, j'aime les mout-mouts arc-en-ciels et vos smileys, pendant qu'on y est ! Donc, Colfer, c'est mon gay baby, et si tu dis du mal de lui, je t'envoie Pinpin dans le gueule, okéoké ? Après, j'aime bien violer les gens dans la lumière pâle de l'aube timide #zbaaaf. Sooo, je sais pas quoi dire en fait. C'est pour ça que je balance que des conneries depuis le début de ce texte, et que je vous fais perdre cinq minutes de votre vie #pastapez. Bon. Au lieu de vous retenir plus longtemps - non mais sans dec, me dites pas que vous vous faites pas chier ?! - je vais terminer sur ... Rien que le plaisir de la sodomie du porno de smileys. Alleeez, bisous les loulous !

Bienvenuuuuuuuuuue !

bienvenue.
bonne continuation pour ta fiche.

Merci à vous tous !

Mercii !

Merci à vous, z'êtes des amours !
Faith • Owii ... Parce que, Summer quoi ...

Oh oui, j'ai vu ce film, et j'en pleure encore d'ailleurs. En fait, Jazz n'à pas de chien, parce qu'il pense que ce ne serait pas raisonnable, itou, mais son rêve serait d'un avoir un, alors oui, ça pourrait faire un bon début de lien.

Ahah, bah forcément, Tay Swift, ceylavie ! Bref, content qu'elle te plaise ! Et désolée si j'ai été longue, mais je me battais avec mes devoirs d'histoire et de physique en même temps que j'écrivais l'histoire, et ça partait en cacahuète, pour rester polie. é_è