Vous vous êtes déjà triturés le cerveau à un point d'en avoir mal à la tête, de devenir dingue ? Cela m'arrive en ce moment même, tout cela à cause de LUI, depuis mon retour, je ne cesse de penser à lui, bien qu'avant il occupait déjà mes pensées, mais à présent c'était encore pire, en particulier depuis qu'il m'avait dit qu'il était en couple. J'étais chez moi, je tournais en rond, je remarquais encore tous les cartons qui n'étaient pas défait, j'avais entassé toutes mes affaires chez ma mère le temps de ma mission humanitaire, j'avais tout récupéré et je n'avais pas l'envie de tout déballer, certainement à cause de la flemme. J'attrapais mon téléphone portable, commençant à écrire un long message à Calvin. « Désolée de te déranger, j'ai besoin de te parler, si tu pourrais passer chez moi se serait parfait, enfin je ne t'oblige en rien. Voilà encore désolée de t'avoir dérangé, j'espère que tu viendras, c'est important ! » J'avais eu du mal à l'envoyer, je restais ensuite bloqué face à mon téléphone, mais je le laissais ensuite tomber sur le divan, préférant monter prendre une douche afin de m'occuper. Je me demandais s'il allait passer, après tout, qu'en avait-il à faire de moi ? S'il était de nouveau en couple, c'est qu'il était heureux, qu'il avait refait sa vie, qu'il m'avait oublié, que je n'étais plus qu'un simple élément de son passé. Je sortais de la douche, séchant mes cheveux, m'habillant avec un jogging et un vieux débardeur. Je m'étais décidée à tuer le temps et donc à vider mes cartons, bien que j'allais certainement jeter la moitié de mes affaires, j'étais du genre à jeter rapidement mes affaires, à regretter ensuite. Je détestais avoir une maison trop remplie, avec des meubles partout. Sincèrement j'aime avoir de l'espace, je me sens beaucoup plus libre. Puis depuis ma mission humanitaire, j'ai appris à vivre avec le nécessaire. Alors que j'ouvrais un carton, qui contenait plusieurs assiettes, des verres, j'entendais sonner à la porte, je fus prise de surprise et toujours en bonne maladroite que je fais, le carton me glissa des mains, laissant entendre un bruit sourd. J'en étais certaine mes assiettes et mes verres devaient être en plusieurs morceaux. Gueulant toute seule, je me dirigeais vers la porte d'entrée, me disant presque que cela ne pouvait pas être Calvin. Mais alors que j'ouvrais, je découvrais son visage, ce qui m'arracha un petit sourire, que je faisais rapidement disparaître, ayant une petite peur qui me traversait, car je n'étais plus certaine de vouloir lui parler sincèrement de ce que je ressentais.

J'étais debout depuis 8h00 du matin je m'étais douché, j'avais bu un café noir avec un sucre et... m'étais calé devant mon ordi sur mon pieux afin de bosser. Ses derniers jour, le mot travail était d'ordre, je répondais plus au téléphone mise à part pour le boulot, répond pas au mail et surtout, ne voyais personne. Le retour de Malika m'avait plus que perturbé. C'est vers le début d'après midi que je reçu un message de Malika« Désolée de te déranger, j'ai besoin de te parler, si tu pourrais passer chez moi se serait parfait, enfin je ne t'oblige en rien. Voilà encore désolée de t'avoir dérangé, j'espère que tu viendras, c'est important ! » Ni une ni deux je me levais, enfilais un jean bleu marine et une chemise noir puis je filais chez elle sans hésiter.
C'est devant chez elle, que j'hésita à entrer au bout de dix minutes je me décidais et alla à pied jusqu'à sa porte et sonna. J'entendis un bruit fracassant et l'entendis crier toute seule. UN petit rire s'echapa et elle vint m'ouvrir, je repris un air sérieux.

-Tu as demandé à me voir, je suis là. Je peux entrer? merci!

Je n'attendis pas sa réponse et fis comme chez moi, entrant chez elle, je retirais ma veste et la posa sur le canapé puis m’affala dessus.

-Alors de quoi tu voulais me parler?

Il était là face à moi, je ne savais même pas quoi dire, j'étais comme bloquée. « Tu as demandé à me voir, je suis là. Je peux entrer ? Merci! » Je n'avais même pas eu le temps de lui dire d'entrer, qu'il l'avait déjà fait, c'était bien lui de faire ça, il n'avait pas changer et c'était une bonne chose. Il retira sa veste, s'installa sur mon canapé, je fermais donc la porte, me retournant je remarquais au loin mon carton qui était au salon. Je m'avançais alors. « Alors de quoi tu voulais me parler ? » Je ne savais plus vraiment si je devais lui parler, je restais quelques secondes dans le silence. J'avais l'impression que je n'avais pas le droit de lui dire que je l'aimais encore, il était en couple et je n'avais aucunement le droit de lui dire, de mettre le désordre dans son couple. « Hum... je voulais être certaine qu'entre nous il n'y avait pas de mal-aise, je veux dire tu es en couple, moi aussi et on pourrait justement garder le contact... enfin être des amis. » Je continuais bien sur mon mensonge, je n'avais absolument personne dans ma vie, ce que j'étais en train de faire devenait pathétique. Me contenter d'une amitié avec lui c'était une bonne chose, même si je voulais beaucoup plus que ça, à vrai dire plus je le regardais et plus j'avais envie de lui sauter dessus. J'avais l'impression de lui faire une demande d'ami comme sur Facebook. « Je suis désolée d'être partie il y a un an, mais bon cela appartient au passé. Je vois que tu as l'air heureux, hum... Rose si je ne me trompe pas, doit te rendre heureux, ça doit être une fille bien ! » Oui j'étais une idiote, oui j'étais plantée au milieu du salon comme une pauvre fille. Je me demandais pourquoi j'agissais ainsi ? Sans doute, parce que lorsque j'étais dans l'avion, je m'étais imaginée les choses comme dans un rêve, j'avais pensé innocemment que Calvin m'aurait attendu, qu'il n'y aurait pas eu une autre femme dans sa vie. Une pensée certainement égoïste. « Je crois que je t'ai fait déplacer pour rien, en plus j'ai du te déranger ! » Je paniquais complètement, je m'attendais déjà à sa réponse, qu'il allait me déballer son bonheur avec Rose, ou même me dire qu'effectivement je l'avais dérangé pour rien. Mais sincèrement, j'avais pensé que ce que je devais lui dire serait beaucoup plus simple une fois qu'il serait en face de moi, mais justement, cela m'avait bloqué et je n'avais pas pu lui dire.

A peine entrer, je la vis comme contrarier. Elle ne tarda pas à prendre la parole. « Hum... je voulais être certaine qu'entre nous il n'y avait pas de mal-aise, je veux dire tu es en couple, moi aussi et on pourrait justement garder le contact... enfin être des amis. » Elle se moque de moi... Elle est sérieuse là ou y a une caméra caché? Gardant mon calme je la laissais poursuivre en silence la fixant tout simplement.« Je suis désolée d'être partie il y a un an, mais bon cela appartient au passé. Je vois que tu as l'air heureux, hum... Rose si je ne me trompe pas, doit te rendre heureux, ça doit être une fille bien ! » Alors là je rêve! HEUREUX? ELLE EST SÉRIEUSE? Elle m'a déjà vue heureux, elle devrait savoir que je le suis pas. Elle me déçoit beaucoup... « Je crois que je t'ai fait déplacer pour rien, en plus j'ai du te déranger ! »

-T'as voulut que je vienne? Maintenant je suis là.

Mon regard s'assombrit, elle avait réussis à m'énerver. Comment osait-elle dire que j'étais heureux. Qui était-elle pour en déduire ça? Elle avait pas le droit.

-Heureux? parce que tu crois que j'ai une gueule de mec heureux? Pour quelqu'un qui m'aimait et que j'allais demander en mariage tu me déçoit! Je suis loin d'être heureux. Rose? Je suis même pas amoureux d'elle! J'ignore ses appel. Un an que t'es partir UN AN que j'ai pas réussi à te sortir de la tête. Un an que je me dis que je devais te demandé en mariage car tu étais et tu resteras la seule femme que je dois demander en mariage. Mais t'as raison je suis heureux!

Je n'avais pas le droit de revenir ainsi dans sa vie, tout détruire autour de moi. Du moins, je m'en étais convaincue depuis que je savais pour Rose et lui. Bien que ma cousine Maya m'avait éclaircie au propos de ce que Calvin ressentait pour moi, elle m'avait dit qu'il m'aimait encore, mais peut-être qu'il aimait aussi Rose. J'étais perdue, je ne savais plus comment agir, cela devenait un vrai cauchemars. «  T'as voulut que je vienne? Maintenant je suis là. » Je remarquais bien que je l'avais énervé. Peut-être que finalement je devais laissé cette part de fille trop généreuse, trop aimable de côté, et reprendre ma vie d'avant, sans me soucier des conséquences, peu importe si je cause du malheur autour de moi. « Heureux? parce que tu crois que j'ai une gueule de mec heureux? Pour quelqu'un qui m'aimait et que j'allais demander en mariage tu me déçoit! Je suis loin d'être heureux. Rose? Je suis même pas amoureux d'elle! J'ignore ses appel. Un an que t'es partir UN AN que j'ai pas réussi à te sortir de la tête. Un an que je me dis que je devais te demandé en mariage car tu étais et tu resteras la seule femme que je dois demander en mariage. Mais t'as raison je suis heureux! » J'étais fixée, il n'aimait pas Rose, c'était une bonne nouvelle. Cependant, j'étais attristée de remarquer que je venais de le décevoir, je restais comme bloquée face à lui, j'avais cette impression d'avoir reçu un énorme tsunami au visage. A mon tour, je m'énervais, augmentant alors le son de ma voix, qui j'espérais n'aillant pas être défaillante. « Pourquoi rester avec elle si tu ne l'aimes pas ? Pourquoi ? Et tu crois quoi hein ? Que je t'ai oublié ? J'en suis incapable et je le serais toujours ! J'ai été égoïste il y a un an, je suis partie sans me soucier des autres. J'aurais du penser à toi, à nous avant tout ! » Il m'arrivait de regretter mon choix, d'être partie au bout du monde. Mais je ne pouvais pas faire retour arrière, c'était ainsi et je devais tout simplement réparer mes erreurs. « Et je t'aime tellement, que ça m'a rendu dingue, lorsque tu m'as dit que tu étais en couple. Alors j'ai menti, ce médecin que j'aime n'existe pas. Et de toute façon, je me suis toujours promis une chose, se sera toujours toi et aucun autre, je préfère être seule. » J'étais folle de lui et ceux depuis la première fois que je l'avais vu, j'avais directement compris il y a trois ans, qu'il était le bon, celui avec qui je devais faire ma vie et la terminer.

Elle ne tarda pas à lever le ton à son tour. « Pourquoi rester avec elle si tu ne l'aimes pas ? Pourquoi ? Et tu crois quoi hein ? Que je t'ai oublié ? J'en suis incapable et je le serais toujours ! J'ai été égoïste il y a un an, je suis partie sans me soucier des autres. J'aurais du penser à toi, à nous avant tout ! » C'est à mon tour d'avoir l'ai con pour le coup. Elle avouait avoir été égoïste...« Et je t'aime tellement, que ça m'a rendu dingue, lorsque tu m'as dit que tu étais en couple. Alors j'ai menti, ce médecin que j'aime n'existe pas. Et de toute façon, je me suis toujours promis une chose, se sera toujours toi et aucun autre, je préfère être seule. » Mentie... Elle avait mentit pour ce médecin... Il n'existait pas... Qu'est-ce que j'étais soulagé de savoir ça...

-Rose? J'ai rompue avec elle. Elle me harcelait de messages et je me devais de lui donner des explications alors je l'ai fais. Je suis peut-être un gros con mais je ne suis pas sans coeur non plus.

Je me levais du canapé et me dirigeais vers elle. Mon regard plongé dans le sien ma main se posa sur sa joue.

-Je n'ai jamais pue t'oublier Malika... Tu as toujours été près de moi même si tu étais en Afrique. Tu m'as manqué.... Mais pourquoi m'avoir menti...? Je ne comprend pas.

« Rose? J'ai rompue avec elle. Elle me harcelait de messages et je me devais de lui donner des explications alors je l'ai fais. Je suis peut-être un gros con mais je ne suis pas sans coeur non plus. » Il avait donc rompu avec elle ? C'est sans doute dingue à dire, mais j'étais triste pour elle, que devait-elle ressentir à l'heure qu'il est. Effectivement, j'étais trop gentille avec les autres, mais c'était peut-être une bonne chose que je pense avant tout aux autres, cela m'évitera d'être à nouveau une fille égoïste et qui part n'importe quand en direction de l'Afrique pour une mission humanitaire. Mais c'était une bonne chose qu'il est rompu avec elle, au moins elle est libre et elle trouvera certainement le grand amour. « Je sais que tu n'es pas sans coeur, tu es un homme bien ! » Avec moi il s'était toujours montré bon, généreux, à l'écoute, aimant, alors il m'était impensable pour ma part de penser qu'il était sans coeur, non justement. Il se leva, venant à ma rencontre, déposant sa main sur ma joue, je montais aussitôt ma main sur la sienne, laissant un petit sourire apparaître sur mon visage. « Je n'ai jamais pue t'oublier Malika... Tu as toujours été près de moi même si tu étais en Afrique. Tu m'as manqué.... Mais pourquoi m'avoir menti...? Je ne comprend pas. » Ses mots me touchèrent. « J'étais jalouse de ta relation avec Rose, alors comme une idiote j'ai inventé cette histoire. Mais je n'aurais pas du, c'était immature de ma part. Désolée ! » Surtout que mentir n'était pas mon genre, je détestais mentir, car à chaque fois cela apporte des problèmes supplémentaires, mais la jalousie fait faire de nombreuses choses et j'avais été victime de ma jalousie contre Rose.

Elle m'avait mentir, mais je ne savais pas pourquoi. Je comprenais pas... Et pourtant je ne lui en voulait pas. J'étais tellement heureux de la retrouver. posant ma main sur sa joue elle posa la sienne sur ma main. Un frisson me parcourut le corps. « J'étais jalouse de ta relation avec Rose, alors comme une idiote j'ai inventé cette histoire. Mais je n'aurais pas du, c'était immature de ma part. Désolée ! » Jalouse? Elle n'avait aucune raison de l'être... Elle est tellement parfaite, elle fait le poid à aucune femme dans ce monde. Elle est au-dessus de tout le monde à mes yeux. C'est ma reine, ma princesse et ce qui avait pue être ma femme

-Tu n'as rien à lui envier. Car crois moi elle ne t'aime pas. Elle m'a giflé et a mal pris ce que je lui ai dit. J'ai avoué mes tords auprès d'elle et elle a commencé à te manquer de respect et à ma soeur...Bref parlons pas d'elle, elle n'existe plus à mes yeux.

Je posais mon front contre le sien. Et la serra contre moi..

-Malika... Je veux que toi et moi on recommence tout. Je suis fou de toi, j'ai besoin de toi.

J'avais été incapable de contrôler ma jalousie, à vrai dire en ce moment j'étais incapable de me contrôler, que se soit ma jalousie, ma colère, tout autre chose, mais cela était du à mon retour, j'étais tellement stressée et je ne savais plus comment agir. Mais je savais une chose, j'avais envie de changer, ne plus être l'ancienne moi, cette femme naïve, trop sympathique avec tout le monde. Mais est-ce que je le pouvais ? Peut-être ! « Tu n'as rien à lui envier. Car crois moi elle ne t'aime pas. Elle m'a giflé et a mal pris ce que je lui ai dit. J'ai avoué mes tords auprès d'elle et elle a commencé à te manquer de respect et à ma soeur...Bref parlons pas d'elle, elle n'existe plus à mes yeux. » Je lui faisais un petit sourire, finalement Rose n'avait pas l'air d'être très douce, bien que cela restait compréhensible, mais comment me l'indiquait Calvin, celle-ci ne m'aimait pas, alors à quoi bon avoir pitié pour elle. Je sentais les bras de Calvin se serrer contre moi, je déposais alors ma tête contre son torse. « Malika... Je veux que toi et moi on recommence tout. Je suis fou de toi, j'ai besoin de toi. » Je me reculais alors, le regardant un instant. « Je suis heureuse de t'entendre dire cela, et on devrait effectivement s'offrir une seconde chance. D'ailleurs au propos de ce qui est paru sur moi, l'article qui disait des choses plutôt dingues sur moi, c'est faux, Maddox est un ami d'enfance, alors je me vois mal coucher avec lui ! » Ce que le blog avait balancé sur moi, je ne l'avais pas mal pris, car je n'étais pas la seule concernée après tout, mais je tenais à informer Calvin. Bien que lui aussi devait penser que les rumeurs de ce blog sont fausses.

Elle se recula, je me demanda alors qu'est-ce que j'avais bien pue faire pour qu'elle se recule ainsi puis elle m'expliqua enfin.
« Je suis heureuse de t'entendre dire cela, et on devrait effectivement s'offrir une seconde chance. D'ailleurs au propos de ce qui est paru sur moi, l'article qui disait des choses plutôt dingues sur moi, c'est faux, Maddox est un ami d'enfance, alors je me vois mal coucher avec lui ! » Je ris, je ne pue m'en empêcher car de toute façon je la croyais et je le savais bien.

-Je le sais mon amour. Ne t'en fais pas. Puis j'ai toujours eus confiance en toi. Je sais que ce n'est que ton ami. Y a pas de soucis ma chérie. C'est l'un des plus beaux jours de ma vie.

C'est alors que je me rapprochais d'elle et la repris dans mes bras. Je me penchais doucement et déposa tendrement mes larmes sur les siennes. Ça faisait longtemps que j'attendais ça. Que j'en rêvais.

-Je laisserais personnes nous détruire. ON s'en fou de se que raconte les gens.

Après tout c'était une évidence que le blog me cite au moins une fois, j'étais de retour et les gens s'intéressaient à ce que j'allais faire, bien que pour le moment la plupart de mes anciens fans ont tendance à me considérer comme une : sans carrière qui a tout perdu. Dans un sens ils n'ont pas tord, et ça risque de durer encore plus longtemps que prévu pour ce qui est de ma carrière, mon métier, car je n'ai plus envie de chanter. « Je le sais mon amour. Ne t'en fais pas. Puis j'ai toujours eus confiance en toi. Je sais que ce n'est que ton ami. Y a pas de soucis ma chérie. C'est l'un des plus beaux jours de ma vie. » Je souriais, heureuse qu'il ne pensait pas la même chose que les autres. Il me reprenait dans ses bras, ce contact m'avait manqué. « Je laisserais personnes nous détruire. ON s'en fou de se que raconte les gens. » Il avait raison, à quoi bon tenir en compte les propos des autres, de plus je ne le connaissais même pas, et n'étant plus chanteuse, je n'ai plus d'image à entretenir, tenter d'être parfaite sans cesse. « Tu as raison ! » Je déposais un baiser sur ses lèvres, le regardant ensuite un instant. « Je ne veux pas te mettre dehors, car j'ai envie de passer du temps avec toi, mais... j'ai un million de choses à faire, mais on peut se voir ce soir si tu es libre ? » Dis-je en souriant, espérant qu'il accepte.