Pansie Webster

« there is a fine line between tough and crazy, and you're flirting with it. »

Il était une fois l'histoire de Pansie. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis vingt-quatre ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le huit octobre 1988 à Rideau-Rockcliffe, Canada. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Karen Gillan. On entend souvent dire que c'est une personne : chanceuse, désordonnée, expressive, gaffeuse, protectrice, impulsive, créative, solitaire, franche, maladroite, passionnelle, gourmande, intuitive, bavarde, malicieuse, intrépide,... De plus, son cœur est libre, on pense même que Si-pan est célibataire. Pansie est actuellement styliste/créatrice de mode. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : The future.

il faut me connaître

Elle a commencé à coudre très jeune (aux alentours des cinq/six ans.), car sa mère était passionnée et très douée dans ce domaine. Bien sûr, elle a commencé par des choses très simples, comme du canevas. Mais très vite la jolie rousse a montré un véritable don pour la couture, et en a fait son activité favorite. Le décès de sa mère l'année de ses dix ans l'a d'autant plus poussé à poursuivre dans cette voie. ★ Lors des examens, présentations ou défilés... (chaque fois qu'elle est jugée), elle a toujours la première peluche qu'elle a cousue sur elle : un lapin blanc à motifs bleus, disproportionné mais très attachant. C'est son fétiche, et elle est persuadée qu'il lui porte chance dans ces "épreuves". ★ Pansie est également une passionnée d'équitation, et de chevaux. Il y a cinq ans, pour qu'elle puisse continuer à mener à bien ses compétitions sportives malgré qu'elle quitte la maison familiale pour ses études, son père lui a offert le parfait cheval : un hollandais alezan, indépendant mais généreux et protecteur. Il est aujourd'hui en pension dans le meilleur centre équestre de la ville, et Pansie s'en occupe et s'entraîne trois à quatre fois par semaine. ★ Après trois années d'études en stylisme et mode vestimentaire, et seulement deux années passées en tant que stagiaire dans une entreprise de vêtements, elle vient de créer sa propre marque (grâce aux sous de papa, il faut le dire quand même) : "Pansie : pensez-y !". C'est beaucoup de travail et de pression, mais elle aime l'aventure, et se donne à fond pour que son rêve devienne réalité. Deux grandes célébrités ont accepté de porter ses créations lors des fêtes de fin d'année, ce qui rend Pansie plus optimiste que jamais ! ★ Son nom était déjà connu bien avant qu'elle lance sa collection. En effet, quatre ans après le décès de sa mère, son père s'est re-marié à une femme affreuse (et encore, le mot est faible, mais le sujet n'est pas là.). Cette femme avait déjà eu deux filles avec son précédent mari, et entretenait des rêves de gloire pour sa famille : elle profitait donc de la fortune du père de Pansie pour s'attirer les faveurs des médias, et déclenchait des polémiques dans le seul but de se faire remarquer. Il est donc souvent arrivé que la jolie rousse soit prise dans ces histoires sans queue ni tête, et donc interviewé. Ou qu'elle pâtisse justement du besoin de célébrité de sa belle-mère et de ses demi-sœurs en retrouvant sa tête dans tous les journaux alors qu'elle était loin de souhaiter tout ce raffuts. ★ Pansie n'a connu qu'une seule véritable histoire d'amour dans sa vie. Une romance de deux ans avec un étudiant étranger, qui s'est arrêtée il y a un peu moins d'un an. Il devait repartir, et les choses devenaient compliquées. Mais ils sont tout de même restés en bons termes, et gardent un contact régulier. Depuis, elle n'a pas retrouvé ce sentiment. N'étant pas du genre à se lancer dans des aventures sans lendemain, la belle reste donc seule. Elle aime être en couple, mais n'en ressent pas le besoin ou le manque : elle attend son heure patiemment, et se dit qu'il vaut mieux être seule que mal accompagnée. Surtout qu'au jour d'aujourd'hui, elle a une quantité énorme de travail et ne pense donc pas du tout à ce genre de choses.

il était une fois

Il était vingt et une heures passées lorsque Pansie sortit enfin de son lieu de travail (un petit bureau loué dans le centre d'Ottawa), fatiguée par une journée très intensive. Elle tenait à son bras droit un grand sac dans lequel elle avait mis de quoi finir de confectionner deux ou trois tenues pour sa collection. Parce que, même si elle rentrait à son domicile, elle allait devoir continuer à travailler. En effet, la jolie rousse a lancé sa propre marque de vêtements il y a deux ou trois mois. Son père lui a pour cela fourni une somme d'argent non négligeable, mais à présent, sa réussite ne dépend plus que de sa volonté. Surtout qu'elle n'a pas encore assez de rentrées d'argent pour pouvoir embaucher plus de personnes qui l'aideraient : elle travaille seulement avec une stagiaire et deux couturières. Mais au jour d'aujourd'hui, les choses avancent tout de même bien : elle a fait un premier défilé et voudrait en prévoir un deuxième en début d'année, elle prend contact avec des stars pour faire connaître sa marque, elle a un site internet sur lequel n'importe qui peut commander des articles de sa collection, et sa petite entreprise monte sûrement grâce à la bonne entente de l'équipe. Et puis, Pansie est passionnée de couture et de mode, alors elle ne prend pas vraiment tout ça comme des obligations, mais plus comme des plaisirs. D'ailleurs, malgré la fatigue et le travail qui l'attendait encore en rentrant, la belle arborait un grand sourire lorsqu'elle passa la porte du hall,... et se retrouva sous une pluie diluvienne. Elle serra son sac fort contre elle, et courut pour attraper un taxi qui s'était arrêté à quelques mètres de là. Une fois à l'abri, elle envoya un message à Brielle : Suis dans le taxi, en chemin pour la maison. À tout de suite ! Brielle, c'est sa cousine maternelle, qui habitait dans la même rue qu'elle dans leur ville natale. Étant du même âge, les deux filles uniques ont toujours tout partagé et sont donc devenues comme des sœurs. Aujourd'hui, elles ne sont toujours pas quittées et partagent même un pavillon au cœur d'Ottawa.
Le taxi ne mit pas plus d'un quart d'heure pour l'emmener à destination et, après l'avoir payé, Pansie se fit une joie d'enfin rentrer chez elle. Elle déposa ses affaires dans l'entrée, et s'empressa d'aller raconter sa journée à Brielle, avec l'impression d'oublier quelque chose sans savoir dire quoi. Ce n'est qu'après une vingtaine de minutes qu'elle lâcha, horrifiée : Oh m*rde, l'anniversaire de Penny ! Penny est sa demi-sœur, âgée de vingt et un an, et habitant toujours dans la maison familiale. Et on ne peut pas dire que la jolie rousse la porte dans son cœur. Depuis le remariage de son père, il y a dix ans, elle avait dû apprendre à vivre avec les deux filles de sa belle-mère... qui s'étaient montrées invivables, et carrément pestes envers Pansie, qui n'avait pas les mêmes centres d'intérêts. Elles lui avaient mené la vie dure et aujourd'hui, Pansie leur en voulait encore. Si elle s'écoutait, la jeune femme ne lui souhaiterait pas, évidemment, mais elle savait que cela prendrait encore des proportions incroyables, car sa belle-mère tirait profit de la moindre de ses erreurs pour briser la relation qu'elle avait avec son père. Jusqu'ici, elle n'avait pas réussi, mais la belle préférait rester sur ses gardes. Elle appela donc immédiatement chez elle, sans prêter attention à l'heure tardive car elle savait très bien que cette famille ne se couchait jamais avant minuit. Elle fut rassurée d'entendre le combinet se décrocher après quelques sonneries (car sa famille sort souvent, également.) mais ce sentiment fut de courte durée, car c'est la voix de sa belle-mère qui retentit à l'autre bout du téléphone. Bonjour Marie, c'est Pansy. Je m'excuse de n'appeler que maintenant, mais j'ai été très occupée aujourd'hui, je viens juste de rentrer. (mensonge) Je tenais tout de même à souhaiter un joyeux anniversaire à Penny, même si je suppose qu'elle n'est plus à la maison à cette heure. dit-elle en croisant les doigts, ne souhaitant pas parler à sa demi-sœur. Effectivement, c'est un peu tard, mais je transmettrai. Tu veux parler à ton père ? répondit-elle froidement. La belle rousse se fit un plaisir de répondre oui, et discuta avec son père pendant une bonne demi-heure avant de reposer le combinet. Leurs relations avaient toujours été excellentes depuis la mort de sa mère, et c'était toujours agréable de l'avoir au téléphone.
Étant assez casanière, Pansie aimait passer ses soirées dans le calme de son pavillon. Les filles avaient d'ailleurs leur petit rituel quand la styliste ramenait du travail à la maison : elles commandaient un repas chinois, s'installaient dans le salon et se racontaient les derniers "potins" tout en finissant les coutures nécessaires. Le repas fini, elles s'ouvraient généralement une bouteille de vin rouge, et continuaient le travail en discutant de tout et de rien jusque tard dans la nuit. Elles s'amusaient toujours beaucoup, malgré qu'elles travaillent dans le même temps. Et ce soir là aussi, elles s'étaient beaucoup amusés jusqu'à ce que Brielle la regarde droit dans les yeux et lui annonce de but en blanc : Je suis enceinte.

je ne suis plus anonyme

Bonjour/bonsoir tout l'monde ! Moi, c'est Julie (mais j'me fais plus souvent appeler Lilly ou Cally - ça serait trop long de vous expliquer.). J'ai dix-neuf ans, et je suis étudiante. J'ai découvert le forum sur Bazzart, comme d'hab. Et je l'trouvais tellement moche & inintéressant que j'm'y suis inscrite. JE DÉCONNE - baissez les armes, pas taper. En vrai, j'ai keaffé sur le contexte, et quand j'ai ouvert la page, je l'ai trouvé magnifique, résultat : ni une, ni deux, je me suis inscrite ! Et vous allez donc devoir me supporter à peu près quatre jours sur sept, sauf en période de partiels, où ce sera plus chaud (comme à la rentrée. ). Voilà, je crois avoir tout dit. En tout cas, je ne mords pas & suis ouverte à toutes propositions (j'parle de liens ou de trucs du genre là, HEIN) donc n'hésitez pas à me mpotter, j'adore ça. Bisous & à bientôt sur le forum les gens.

JENSEN, JENSEN, JENSEN, JENSEN, JENSEEN, JE PLUSSOIE LE MAGAAAAD !

Spoiler:

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Rory A. Vinyard a écrit:

NAN MAIS PANSIE ASSURÉMENT QU'IL NOUS EN FAUT UN. (Je te laisse pas le choix & Dimichat non plus. )