Rose Mary Cartwright

« she'll kill your pain like a bullet to your brain. »

Il était une fois l'histoire de Rose. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis 25 ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le 25 novembre 1987 à New York. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Sophia Bush. On entend souvent dire que c'est une personne : prétentieuse, franche, joueuse, dépensière, courageuse, réaliste. De plus, son coeur est libre et pris, on pense même que Rosy est en couple ? Rose est actuellement présentatrice radio ancienne mannequin. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : the past.

il faut me connaître

Vient d'une famille de riche entrepreneurs ★ JE rêve d'un amour réel, d'un amour unique, d'un prince charmant. Suis-je folle ? ★ Je voulais devenir avocate avant, puis on m'a dit que je devrai être un mannequin. Je n'y ai pas cru, puis un jour un agent est venue vers moi et m'a proposer un travail. J'ai sauté dessus, oubliant le reste. ★ Quand j'ai eu 'impression que ma carrière devait prendre fin, on m'a proposé un travail de présentatrice dans L'Ottawa, j'ai sauté sur l'occasion. ★ J'ai rencontré un homme à Venise, j'ai trompé mon petit ami avec lui. J'étais ivre, seule et triste, ça se comprends. Je en eux en parler à personne mais, il se trouve que mon coup d'un soir emménage dans le coin, il est plus beau que jamais, mannequin et soudainement très intéressé par le fait de "remettre le couvert" ★ Mon petit ami à soudainement disparu, pourquoi ? Je le sais, son ex est revenue. ça me rends vulnérable, seul et frustré. Je crois bien que notre histoire va bientôt se terminer. Je m'y attendais donc bon... ★ JE crois que ej suis enceinte, mais se n'est surement qu'une fausse alerte, non..?

je ne suis plus anonyme

J'm'appelle Jaël, mon pseudo n'est tel que fucking face. je suis arrivé ici grace à bazzart et j'ai craqué pour le scénario de malika

il était une fois

« Bonjour monsieur, est-ce que "Calvin" habite ici ? » Le vieil homme me sourit et me confirme que j'étais bien dans la demeure du jeune Millers. C'était joli comme endroit, loin des appartements, maison et villas dont j'ai été la locataire pendant mon enfance mais c'était pas mal. Ottawa, je me demande souvent comment j'ai pu arriver ici. Peut être aurai-je dus rester à New York ? Ce n'est pas comme si je connaissais du monde ici quand je suis arrivé. J'étais une petite New Yorkais qui arrivait ici avec ses grandd airs et ses vêtementd chic, heureusement pour moi les gens sont accueillant et parfois plus snob que moi. « Toc toc ? » J'entre d'un pas incertain dans l'entrée du jeune homme et je m'approche nerveusement de lui, dans le salon. « Rose c'est ça ? T'as été élevé où ? On t'as pas appris à sonner avant d'entrer ? » Il m'avait refroidi direct et toute ma politesse, ma bonne volonté et ma politesse avait disparu. « J'ai sonné, pas ma faute si vous êtes sourd ! » Je lui lance un regard des plus noir, c'est ce petit con qui allait devoir me présenter à bon nombre de célébrité local et mondial pour les besoins de ma chronique et merde. « T'as du cran. Assis. » Je le regarde, légèrement surprise, mais plus blasé qu'être chose. « C'est une blague j'espère ? Et c'est moi la mal élevé ?! » Le jeune homme me souris encore plus, je remarque alors son beau sourire qui, même s'il est narquois, me fait frissonner. « Je vous offre un verre princesse ? » Je me décrispa et lui souris même un peu, acceptant sa proposition. Le reste de notre entretien fut assez silencieux, il semblait pensif tout au long de notre conversation et une fois terminé il me dit tel un illuminé : « ça vous dit de dîner avec moi un de ses quatre ? C'est moi qui invite. » Légèrement surprise alors, je lui fit l'un de mes plus beaux sourires et lui répondis : « Y'a intérêt. »

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Comment j'ai pu passer à côté d'un truc pareil hein ? Il me parlais sans arrête d'elle, il avait encore des photos, des souvenirs, ses yeux brillaient quand il parlait d'elle, de Malika. Puis un jour j'en ai eu assez, j'ai essayer de la jouer fine, lui faire comprendre gentiment que je ne voulais plus entendre parler de MALIKA, mais il est aussi boucher qu'un minimoys sourd ! Alors, à situation extrême, décision extrême. : On est allez à Venise.

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« Tu ne pourrais pas faire au moins semblant d'être heureux d'être ici, avec moi ? » Son regard en dit long, il était blasé, blasé comme jamais. On était installé à notre hôtel aussi romantique que magnifique et tout ce qui faisait c'était se plaindre, râlé, et on se disputait. « Je ne voulais même pas venir ici à la base, tu m'as trainer dans cet endroit de force ! » Je sentais les larmes monter jusqu'à mes yeux et ses derniers-s'embuer tellement je me sentais mal sur ce coup. « Tu ne te rends pas compte de tout le mal que je me suis donné pour trouver cet endroit, pour les places en première classe dans l'avion, pour le chauffeur, pour notre gudie, pour le bateau enfin POUR TOUT ! qu'est-ce que tu peux être ingrat ! » Il n'avait même pas l'air en colère, juste fatigué de moi, de me voir, de savoir ma présence, qu'est-ce qui pouvait bien se passer dans une tête hein ? A oui, Malika. « Tu pense encore à elle hein ! »« A qui ? » Je ne prends même pas la peine de lui répondre et je sors, prends mon sac et sors de cette chambre d'hôtel à plus de 6 000 dollar la nuit. Cette nuit-là, je suis allé dans une boite, Je ne me rappelle même pas du nom, j'étais tellement ivre, déjà même à l'arrivée. « ROSE CARTWRIGHT ?! » Je me retourne et tombe nez à nez avec un de ses mannequins italiens, beau à tomber et avec un sourire en or. Roh se sourire, ce sourire à la fois niai et mystérieux qu'avait Calvin au début de notre histoire.. « Qui l'a demande ? »« J'avais des photos de vous sur mon portable il y a pas moins de 4 ans, vous étiez tellement sexy. » Je le regarde de bas en haut, surprise. « ÉTIEZ ? Vous savez vraiment parler aux femmes. »Il me souri, encore se sourire. « Je suis mannequin moi aussi. J'ai toujours craqué sur vous. » Je soupire. « Laissez-moi deviner, vous allez me chuchoter que c'est un vieux rêve de coucher avec moi et vous allez m'emmener dans votre chambre d'hôtel pour une nuit de folie et qu'ensuite vous allez me dire que vous allez me rappeler alors que vous ne le feriez jamais, pas vrai ? » SMILE AGAIN. « Je ne pense pas en avoir besoin ce soir, pas vrai ? » Se sourire devint un sourire de gagnant, un sourire satisfait, rarement vu chez Calvin. J'étais ivre morte peut être, j'étais triste aussi, je me sentais seule et il était là. Je me suis juste lâché, c'est mal je sais, mais pour la première fois depuis longtemps j'avais vraiment l'impression qu'un homme pensait à moi, qu'il était là pour moi et pour personne d'autre.

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Je regrette beaucoup c'est vrai, mais je ne voulais pas vraiment lui parler de cette petite erreur. Puis le mannequin a débarqué en ville. Quelle chance j'avais que quelqu'un d'Italie me retrouve dans l'Ottawa et travaille avec moi hein ? Dès que je l'ai vu, dès que je lui ai parlé, dès que j'ai senti son regard sur mon et ses lèvres sur les miennes(soit disant pour dire bonjour) j'ai voulu le dire à Calvin, tout lui avouer. Puis je les appri, Malika était de retour, et Calvin était perdu. J'étais blessé au plus profond de mon âme, et j'étais désespéré. « Rosy, qu'est-ce que tu fais ici, chez moi, si tard ? » Je le regarde droit dans les yeux, je me mets à pleurer et lui comme un vrai gentleman me réconforte. « Je suis une idiote. » Il me regarde avec des yeux pleins de compassion, d'amour et de réconfort et il me chuchota : « Rose, tu es la fille la plus intelligente que je connaisse. »