Allen Nathanaël Vane

« Hasta la vista, baby. »

Il était une fois l'histoire de Nathanaël. Ce n'est pas une quelconque personne, depuis dix-neuf ans, d'ailleurs la première fois qu'on a pu l'apercevoir, c'était le vingt-et-un juin 1993 à Los Angeles. Ses proches trouvent d'ailleurs qu'il y a une ressemblance avec Kendall Schmidt. On entend souvent dire que c'est une personne : Arrogante • Possessive • Impulsive • Violente • Douce • Moqueuse • Rêveuse • Indépendante • Rebelle • Têtue • Protectrice • Courageuse • Culottée. De plus, son coeur est libre, on pense même que Nath est célibataire. Nathanaël est actuellement étudiants en musique-arts de la danse. D'où le fait que l'on peut l'apercevoir dans le groupe : présent.

il faut me connaître

J'ai été battu par mon père pendant un certain temps. ★ J'ai le syndrôme du super-héros, je ne peux pas m'empêcher de venir en aide aux personnes en danger, quelqu'en soit le prix. ★ J'aime beaucoup les animaux, je possède un furet noir comme animal domestique. ★ Je bois comme un trou avec mon pire ennemi, mais personne ne le sait. ★ J'ai toujours voulu être chanteur, c'est le but que je voudrais atteindre. ★ Je vis à l'instant présent, comme je l'entends. Carpe Diem est ma devise. ★ Je déteste l'autorité, on ne me dicte pas ce que je fais. ★ J'ai tendance à répondre méchamment à ceux qui m'emmerdent, et je peux être très acide quand je veux. ★ Je me suis battu à de nombreuses reprises. ★ J'ai fais trois ans taekwondo, histoire de savoir me défendre correctement si jamais je dois me confronter à plus fort que moi. ★ Je bronze rarement, même quand je m'expose longtemps au soleil. ★ Je suis ambidextre, je n'ai aucun problème à utiliser mes deux mains. ★ Je joue du piano, de la guitare et du ukulélé. ★ Je suis bisexuel, et peu de gens le savent. ★ J'ai toujours rêvé de faire un safari en Afrique et de visiter l'Australie. ★ J'adore les paysages d'hiver, c'est la saison que j'aime le plus. Parce que je peux jouer au hockey sur glace.

je ne suis plus anonyme

Bonsoir mes choupinous en sucre ! Pour commencer, je m'appelle Léa(h) et j'ai présentement dix-sept ans. On me connaît sous le pseudo de DeepM, généralement. J'ai découvert le forum grâce à Tiziano avec qui j'ai l'habitude de rp depuis longtemps, on est comme un vieux couple avec elle Je trouve qu'il n'y a rien à redire, le contexte est original et l'endroit aussi ! J'ai toujours rêvé d'aller au Canada Pour terminer, je me connecte tous les jours généralement sauf rare exception et un mot pour la fin ? KAMES POUR TOUJOURS ET À JAMAIS.

all stories have a beginning

« Dorian, arrête ! S'il te plaît, ce n'est qu'un enfant ! » Les coups pleuvaient sur mon petit corps comme les petites gouttes d'eau qui tombaient contre les carreaux de la fenêtre. J'avais beau me débattre et hurler le plus possible, j'étais impuissant face à la douleur. Cette traîtesse, cuisante, qui ravageait les carrés de peau endoloris par le cuir de la ceinture. Dorian Vane n'avait aucune raison de battre son unique fils, c'était bien le problème, justement. Ce n'était qu'un immense vice incontrôlable, après avoir ingurgité des bouteilles d'alcool aussi vite que l'éclair qui disparaissait dans le ciel. Mon regard vitreux et fatigué, épuisé même, ne pouvait que regarder au-dehors, la tempête qui faisait rage. « Ta gueule, il n'a que ce qu'il mérite. Ce misérable insecte n'était pas prévu au programme, tu te rappeles ? » Un coup, et encore un autre. Un cri, et encore un autre. Une souffrance, toujours aussi présente. Physiquement, intérieurement. Je n'étais encore qu'un jeune garçon, et je découvrais déjà ce sentiment sombre qu'était la haine. La haine viscérale. Ma mère était trop faible pour pouvoir s'interposer entre ce monstre et moi, pour pouvoir m'emmener loin. Ce manège infernal dura quelques années, avant que je n'arrive à nous en dépêtrer. La police ne put entendre qu'un « à l'aide..s'il vous plaît..quelqu'un.. » avant que je ne lâche le combiné, tombant sur le sol, inconscient. Je n'avais pu supporter une énième attaque parternelle. Et à partir de ce moment là, ce fut la délivrance. Ils ne mirent pas longtemps à trouver la provenance de l'appel et les sirènes arrivèrent sur place. Ma mère avait peu été blessée, j'avais la vive impression qu'il n'en avait qu'après moi, pour une raison inconnue. Mon corps fut transporté à l'hôpital de Los Angeles, la cité des Anges. Et je pense que c'est un ange qui est venu à notre secours, ce jour-là. Je n'oublierais ce qu'il s'est passé dans cette maison, tout est ancré à jamais dans ma mémoire. Même si le soleil vient toujours après la pluie, les nuages noirs ne sont jamais loin pour reprendre la place qui leur est due.

music sounds better with you

« Je vous présente un nouveau venu dans la chorale, Nathanaël Vane. J'espère que vous lui ferez un accueil chaleureux. La musique rassemble aussi les gens, nous sommes une grande famille. » Nous avions rapidement déménagé, et c'était compréhensible. Une petite ville éloignée de celle de ma naissance, nous avait paru calme et sereine. Le psychopathe qui me servait de père avait été envoyé en prison, et une importante somme d'argent nous avait été envoyée, pour réparer les dégâts physiques que j'avais. Il est très facile de remarquer que j'avais des cicatrices un peu partout sur le dos et le torse. Plus ou moins récentes, mais répérables. J'avais espoir que certaines disparaîtraient au fil du temps, mais en attendant je ne voulais pas montrer ce qui était responsable de mon renfermement. J'étais devenu un jeune garçon peu bavard et très agressif lorsque l'on m'approchait d'un peu trop près. Mais il me restait cette rage intense, qui ne demandait qu'à sortir. Il était rare que je revienne sans égratinures à la maison, il arrivait souvent que ma mère soit convoquée à cause d'une bagarre à laquelle j'avais participé. Mais j'avais besoin d'extérioriser ça, cette chose qui grognait au fond de moi. Isadora Vane n'était pas réellement d'accord avec ça. « C'est un ordre, Allen Nathanaël Vane, tu feras de la musique. C'est compris ? » je ne pouvais blâmer ma mère de mon comportement, elle était ma béquille. Je n'aurais pu continuer à avancer sans elle et son regard tendre. Ses efforts pour me faire retourner à la normale, tout en sachant que ce ne sera jamais complètement possible. Elle avait pensé à cette voie, plus artistique. Et je ne la remercierais jamais assez pour m'avoir entraîné dans ce monde. J'avais découvert qu'avec les mots, les paroles, les notes, l'harmonie musicale, on pouvait se confier sans détour, à une vieille amie qui nous suit à jamais. Je voulais chanter, point barre.

city is ours

« Vane, c'est bien ton nom ? » Un regard indifférent, dont les reflets verts miroitaient à la lueur du soleil. Fallait dire aussi que j'avais fumé un pétard avant, ça expliquait pas mal de choses. « Ouais, t'as un problème avec ça ? » Je n'avais jamais arrêté d'être agressif, depuis ce temps-là. Il suffisait de la moindre petite chose insignifiante pour que je pète un câble. Un regard de travers, un simple mot qui ne me plaisait pas, et encore moins l'autorité. Ces adultes qui donnaient des ordres et des interdictions, alors qu'ils n'étaient même pas capables de comprendre nos faiblesses, nos états d'esprit. « C'est vrai que ton père c'est un taulard ? C'est ce qui ce raconte dans les couloirs. » J'avais beau n'en avoir rien à cirer de mon paternel, il en restait que je haissais que l'on connaisse et répende ma vie privée dans tous les couloirs du l'établissement. En quelques pas, il était maintenu par le cou contre le mur le plus proche. Mon souffle tout contre son oreille, venimeux. Ma poigne dure, lui coupant presque la respiration. « Tu vas rapidement me donner quelques noms, d'accord ? Sinon ta chère maman ne pourra pas te reconnaître en rentrant, c'est bien clair ? » C'était quelque chose de violent qui m'animait, qui me rendait aussi mauvais. J'avais eu tellement de mal à rentrer dans le moule, à m'intégrer à la masse. Et il restait tant encore à faire, je restais souvent seul. Je me sentais tellement mieux qu'entouré de gens qui ne s'intéressent à vous que pour vos exploits, votre popularité, votre beauté ou que sais-je encore. Tout le monde connaissait ma réputation aussi, j'étais certainement le bad boy de l'établissement. Il ne fallait en aucun cas me chercher, sinon on me trouvait très rapidement. Et mon poing dans la face aussi. J'avoue que j'ai un bon crochet du droit. Il n'en reste pas moins que j'ai des notes convenables dans la plupart des matières. Mais ce n'est pas ce qui me plaît. Je préfère de loin aller me balader dans le parce qui entoure le collège, et chanter, jouer de la guitare. J'ai l'intention d'intégrer une école qui enseigne le chant et la danse, dans le plus grand secret.

he's not any kind of guy

« Tout se passera bien, maman. C'est pas ça qui va me faire peur, tu sais ? On se voit ce soir de toute manière ! » Encore un déménagement, mais pour la bonne cause. J'avais été accepté dans la prestigieuse université artistique d'Ottawa, dans l'Ontario. J'étais pressé d'y aller, de faire mes preuves, de montrer que je pouvais être autre chose que la brute de service. Mais rien ne s'était passé comme je l'avais prévu. J'avais pu espérer, au début, que tout irait bien. Tout avait bien commencé, j'avais bien été intégré à ma classe, en chant-arts de la danse, et j'avais pris connaissance de mon emploi du temps. J'avais peu de cours, mais beaucoup d'évaluations hebdomadaires, pour vérifier si nous avions de l'autonomie et si les heures de libre servaient bien à quelque chose. C'est à l'heure du repas de midi que tout avait dérapé, alors que je n'avais pas encore fait un pas à l'intérieur de la cantine. J'avais à peine ouvert la porte du self quand une montage de déchet immondes et putrides m'étaient tombé dessus, m'ensevelissant presque dessous. Et la colère revint à la charge, puissante et destructrice. Je me relevai dignement, sans rien dire, le regard noir. On aurait presque pu voir une once de folie dans mes yeux vert clair. Quelques rires, et un grand silence qui s'installait alors que j'entendais des bruits de pas derrière moi. Je ne me retournai pas tout de suite, préférant seulement poser une question. D'une voix froide, cassante, et surtout dangereuse. « Qui est le connard qui a fait ça ? » Un pouffement moqueur. « Quelqu'un ayant suffisamment d'humour et d'intelligence que pour vérifier que les nouveaux arrivants en ont aussi, ce qui n'est visiblement pas ton cas. » Rapidement, j'avais fais demi-tour pour asséner un coup de poing au crétin qui avait osé me parler comme ça. Un brun, de grande taille, avec un sourire qui me donnait envie de lui refaire le portait. C'est ainsi que je rencontrais Tiziano Salviati, mon meilleur ennemi. J'allais faire de sa vie un enfer, rien que pour avoir gâché ma première journée d'études.

A. Nathanaël Vane a écrit:

Oh oh, une connaisseuse
Merci beaucoup jolie Benson